Que serait une caméra sans film ? Le film est un peu à la caméra ce que l’essence est au moteur à explosion. Une caméra ne peut travailler qu’avec une pellicule à l’intérieur. Mais on peut faire des films (au sens de support d’une oeuvre) sans caméra (exemple bien connu : Norman Mc Laren).
La caméra a pu être inventée et perfectionnée parce que le film argentique s’est développé. Transparence et souplesse du support, qualité des émulsions photographiques ont permis ces développements et évolutions.
Voici un répertoire (non exhaustif et sans être à l’abri d’erreurs !) de différents formats utilisés au cours de l’exploitation du cinéma argentique. Certains formats n’ont vécu que le temps de l’existence des appareils qui leur étaient associés. D’autres ont été créés pour des foires ou expositions.
L’image ci-dessus représente le film du Mirographe de Reulos-Goudeau & Cie (20 mm).
Pour simplifier, les principaux formats exploités peuvent être regroupés en 6 grandes familles :
1 – 35 mm ; images sur 4 perforations à défilement vertical ;
2 – 35 mm ; images sur 4 perforations à défilement vertical avec anamorphose (ex.: Cinémascope);
3 – 35 mm ; images sur 8 perforations à défilement horizontal (ex.: VistaVision);
4 – 35 mm ; images sur 8 perforations à défilement horizontal avec anamorphose (ex.: Technirama);
5 – 65 mm ; images sur 5 perforations à défilement vertical (ex.: Todd-AO, Panavision70);
6 – 65 mm ; images sur 5 perforations à défilement vertical avec anamorphose (ex.: Ultra-Panavision, MGM Camera65).
Les tirages en positif de projection pour chaque famille ci-dessus sont principalement :
1 – tirages :
a – standard muet (1.33); standard sonore (1.2 puis 1.375);
b – panoramiques dits “à masque”: “français” (1.66); pano “italien” (1.75); pano “américain” (1.85); avec 3 formes dites pano, l’image s’inscrit sur la pellicule 35 mm avec des bandes noires en haut et en bas ;
2 – tirages : scope (2.35, auparavant : 2.55);
3 – tirages : pano “américain” (1.85);
4 – tirages : scope (2.35); tirage sur 70 mm non anamorphosé ;
5 – tirages: sur 70 mm ou sur 35 mm avec anamorphose;
6 – tirages : idem que 5 – ci-dessus.
Remarque : il est toujours possible de réaliser des tirages sans anamorphose (type pano par exemple) à partir de négatif anamorphosé… mais l’image sera plus ou moins rognée !
Il faut toutefois rappeler (et insister) que le format du film ne conditionne pas obligatoirement le format de l’image. En effet, dans une largeur donnée, on peut inscrire des images soit en hauteur, soit en largeur et les répartir sur un nombre plus ou moins grand de perforations.
Du plus petit, ou presque (4,75 mm à gauche "Duplex" de Pathé) au plus large, ou presque (70 mm à droite). Il faut noter que ces formats ne sont pas des formats de prise de vues, mais uniquement de projection!
Ci-dessous une liste de formats, du moins large au plus large…
— largeur du film à la prise de vues (+ quelques formats uniquement de projection, en rouge) ;
— le nombre de perforations est celui donné pour une image ;
— l’année indiquée (quand elle est connue) est celle de la création.
3,2 mm (1960 – USA) Cine System 3 ? de Eric M. Berndt (1/5 de pellicule 16 mm.)
4,75 mm (cf. 9,5 mm ci-dessous)
8 mm (1932 – USA) Eastman Kodak – 1 perforation/1 côté (16 mm à la prise de vues – d’où l’appellation Double-Huit, coupé par le milieu pour la projection) ;
> variantes :
(1935) Straight 8 de Bell Howell ;
(1965) Super 8 mm Kodak – 1 perforation/1 côté (les perforations sont plus petites que celles du 8) ;
(ca. 1965) Double Super 8 : Pathé ou Kodak (film en bobine alors que le Super 8 est conditionné en chargeur) ;
(1966) Single 8 de Fuji (film dans un chargeur mais sans presseur : c’est celui de la caméra qui agit).
- Minirama de Stuart Warriner (ca. 1970): image au ratio de 2,6:1 (sans anamorphose) par inclinaison de l'appareil (l'image est inscrite en biais sur la pellicule).
8,75 mm (1969 – USA) Electronic Video Recording – 2 rangées d’images – 1 perforation ?
9,5 mm (1922) : Pathé Baby
> variante :
— Duplex (2 perforations centrales, coupé en 2 pour la projection = 4,75 mm)
11 mm
(1916 – USA) – 1 perforation centrale
(1923) Duplex de GJ Bradley – 2 perforations/2 côtés – 11,5 mm
12,6 mm (1899 – Grande-Bretagne) : La Petite de William Hughes – 1 perforation centrale
13 mm
(1899 – Grande-Bretagne) : Prestwich de John Alfred Prestwich
(1925 – France) : 4 perforations
15 mm (1900 – France) : Chrono de poche de Gaumont-Demenÿ – 1 perforation centrale (image ci-dessous)
16 mm (1923 – USA / sonore : 1932) Eastman Kodak – 1 perforation (1 ou 2 côtés) ; ratio : 1,37:1
> variantes :
- Homovie de Kodel Electric & Manufacturing Company, 1929 : 4 images dans le cadre normal (le couloir oscille de bord à bord et de bas en haut) - illustration ci-dessous extraite de l'American Cinematographer de novembre 1929.
- vertical : voir 8 mm
- horizontal : Dimaphot (1955 – France) (= 2 × 8 mm horizontal)
- toute la largeur : Panoscope Emel (1955 – France) – 1 perforation/2 côtés
- Super 16 mm : Aaton (1971) gonflage 35 mm ; ratio du Super 16 : 1,67:1
17 mm
(1898 – Grande-Bretagne) : Birtac de Birt Acres – 2 perforations/1 côté
(1930 – France) 1 perforation / 1 côté (film sonore ?)
17,5 mm (1926 – France) : Pathé Rural – 1 perforation/2 côtés (1 perforation/1 côté : sonore – 1933)
17,5 mm
(1898 ou 1899 – Grande-Bretagne) : Biokam d’Alfred Darling – 1 perforation centrale
(1912) : Duoscope de AF Victor – 2 perforations centrales ?
(1917) : Movette – 2 perforations/2 côtés
(1920) : ? – 2 perforations/2 côtés ?
18 mm (1925 – URSS) 1 perforation / 2 côtés
19 mm (1891 – W. Dickson & W. Heise) – 1 perforation/1 côté
20 mm (1900 – France) : Mirographe de Reulos & Goudeau – perforations sur les 2 côtés sous forme d’encoches
22 mm (1923 – 1926) Gallus (appareil : Le Cinebloc) – 2 perforations/2 côtés
22 mm (1912 – USA) : Edison Home Kinetoscope (3 rangées d’images avec 2 rangées de perforations centrales : ce qui fait 3 films différents sur un seul support…)
24 mm (1924 ou 1927 ?) Cinelux de Ozaphane – sans perforation (l’Ozaphane est ininflammable et existe dans d’autres formats, 16 mm notamment)
26 mm (1920 – France) 1 perforation/1 côté
28 mm (1912 – France) : Pathé Kok – 3 perforations/2 côtés (à la projection perforations dissymétriques : 1 d’un côté et 3 de l’autre pour éviter les erreurs de chargement !)
(1918) de Alexandre Victor – 3 perforations / 2 côtés
Ci-dessus, film 35 mm actuel avec ses pistes optiques dites “à quadruple élongations”
35 mm (ca. 1891 – USA) : Kinétoscope d’Edison – 4 perforations/2 côtés)
35 mm – 1 perforation ronde/2 côtés
(1895) Cinématographe Lumière de Auguste et Louis Lumière
35 mm (ca. 1900) : Pathé – 1 perforation rectangulaire
35 mm : 5 perforations/2 côtés (existe aussi avec perforations centrales rondes entre les images)
(1897) Cinématographe Joly-Normandin
35 mm : 1 perforation centrale
(1900) Parnaland (aussi avec 2 perforations latérales en plus ; utilisé également par le Dr Doyen)
35 mm : 2 perforations/2 côtés
(1900) Dr Doyen
(1922) Phonofilm
(1960-Italie) Techniscope, variante : Arabiscope (la solution 2 perforations se révèle économique -1 image sur 2 perforations-, mais moins bonne techniquement à la projection – vitesse de défilement-; cette solution a principalement été utilisée à la prise de vues : pour la projection, l’image est agrandie et anamorphosée en scope sur 4 perforations)
Mini-Max – 30 images/sec
35 mm – défilement vertical -
4 perforations/2 côtés ; ratios : 1,33/1,78/1,85/2,40:1
(1922) Tri-Ergon Soundfilm de Tri-Ergon – 4 perforations/2côtés – 42 mm
(1926) Magnascope
(1927) Fox Movietone
(1930) Giant Expanding Pictures de G Palmer
(1953) 1.66 Paramount
(1953) 1.85 Universal
(1953) 1.75 MGM
(1982) Super 35
> quelques variantes avec anamorphoses :
Cinémascope (coefficient d’anamorphose : x2) : 2.55 (4 pistes sonores magnétiques et à l’origine avec des perforations carrées) et 2.35 et 2.39 (optique et perforations standards). Le Cinémascope appartient à la 20th Century Fox (achat du brevet du professeur H. Chrétien et lancé en 1953 avec The Robe – La Tunique – d’Henry Koster). La stratégie pour les fabricants et autres exploitants consista à contourner cette exclusivité (non sans poser de nombreux problèmes techniques) :
Agascope (1955) – Suède/Hongrie 1/2.00
Alexcope (?)- Argentine 1/2.55 (son magnétique), 1/2.33 (son optique)
Arriscope (1989) – RFA
Arrivision (1983) – RFA
Cinépanoramic (1953) – France 1/2.33
Cinescope (1958) – Italie
Daiei Scope ?
Dyaliscope (variante du Cinépanoramic) – France 1/2.33
Franscope (variante du Cinépanoramic) – France
Grandscope – Japon
Hammerscope (1956) – Grande-Bretagne
HawkScope – RFA
Iscomorphot (?) - RFA
JDCScope (1981) – Grande-Bretagne
Naturama (1956) – USA 1/2.33
Modern anamorphic (1958) – Panavision
RegalScope (ca. 1956) – USA scope en noir et blanc pour la société Regal Films
ShawScope – Hong-Kong
Shintohoscope – Japon
Sovscope – URSS
Spectrascope (1956) – Grande-Bretagne
Superscope 235 (1954 ?) : RKO
Toeiscope ?
Tohoscope – Japon
Totalscope (1956-57) – Italie 1/2.33
Totalvision – France
UltraScope – RFA 1/2.00
Vistarama (?) - USA 1/2.66
Warnerscope (1953)
Warwickscope (1961) – Grande-Bretagne
(pour plus d’informations, voir le site : The American Widescreen Museum)
35 mm : 3 perforations/2 côtés ; ratio : 1,78:1
(1987) 3-Perf
(1911-12) Chronochrome Gaumont (3 × 3 perforations pour une image/2 côtés)
(1998) Univisium – 25 images/sec
(1999) Maxivision
(1999) Maxivision 48 – 48 images/sec
35 mm – défilement horizontal
— 4 perforations/ 2 côtés
(ca 1935) Relief de Louis Lumière (2 images placées l’une en dessous de l’autre)
— 8 perforations/2 côtés
Technirama (1956)
Technirama Large Area (1956)
Super Technirama (1959) – anamorphose à la prise de vues ; 70 mm en désamorphé
VistaVision (Paramount) (1954) ; (35 mm vertical)
VistaVision Large Area (1954)
Super Vistavision (1989)
Delrama
Dynamic Frame (1956)
Rank VistaVision (1957)
— 10 perforations/2 côtés
Alberini-Hill de Corrado Cerqua (1924)
Fearless Super Pictures (1929) ; 10 perforations/2 côtés ; (35 mm horizontal)
Arnoldscope (1953)
— 16 perforations/2 côtés
Single Cinerama
35 mm : 12 perforations
(1992 ?) Imagination FX7012
Super 35 (1992) : prise de vues uniquement ; exposition sur toute la surface, compris l’espace pour la bande sonore ;
35 mm divers :
négatif pour tirage 3 × 9,5 mm (+ 2 rangées de perforations latérales)
négatif pour tirage 4 × 8 mm (+ 1 rangée de perforations latérales)
Ci-dessous, à gauche, les perforations Edison pour pellicule négative dites BH (pour Bell-Howell) ; à droite les perforations pour les copies d’exploitation dites KS (pour Kodak Standard) aux angles arrondis.
38 mm (1896) : Sivan-Dalphin – 2 perforations/2 côtés
42 mm (ca 1929 – Allemagne) : projet film sonore Triergon – 4 perforations/2 côtés (la piste sonore est sur le côté, au-delà des perforations soit 35 mm + 7 mm)
48 mm
(1897) : Viventoscope de Thomas Henry Blair – 1 perforation ronde de chaque côté
(1924) de JH Powrie – horizontal – perforation ? – (35 mm)
50 mm
(1896 – France) : Auguste Baron, horizontal (1 perforation ronde/image ; dimensions des images Lumière 35 mm)
(1896 – France : Alphonse Darras
(1898 ou 1900) : A & L Lumière (attribué à) ?
(1930 – USA) : Fox film corporation – perforation ?
51 mm (1895) : Eidoloscope de Woodville Latham – 4 perforations/ 2 côtés
54 mm (1892) : Bioscop de Skladanowsky ? – sans perforation ?
54 mm (1888 – France) : Louis Le Prince (ou 63,5 ?) – papier
55 mm
(1895 – Allemagne) : Bioskop de Max Skladanowsky – 2perforations (renforcées par œillets métalliques)/2 côtés
(1955 – USA) 20th Century Fox – Cinemascope 55 – 8 perforations/2 côtés
(1961 – USA) 20th Century Fox – Grandeur 70 – 8 perforations/2 côtés – (70 mm)
56 mm (1929) Magnafilm (Paramount) – 4 perforations/2 côtés
57 mm (1926) Widevision de JD Elms et GW Bingham – 5 perforations/2 côtés
58 mm (1896-1897) Gaumont lance une caméra réversible Georges Demenÿ-René Decaux avec perforations : le Biographe (un peu plus de 200 films tournés en 2 ans)
60 mm (1895) : Joly-Normandin – 5 perforations/2 côtés
60 mm (ca 1890 – Grande-Bretagne) : de William Friese-Greene ; 1 positif connu de 2 m. environ, 51 images, 8 perforations rondes de chaque côté
60 mm (ca. 1894-95) : Chronophotographe (ou Bioscope ?) de Demenÿ-Gaumont – sans perforation (commercialisation du Phonoscope de Demenÿ par Gaumont) ; il s'agit en fait du film de 58mm ci-dessus.
60 mm (ca. 1890) : Chronophotographie d’Etienne-Jules Marey
62 mm : (date ?) attribué à Méliès ? 6 perforations
63 mm (1897 – USA) : Veriscope de Enoch Rector – 5 perforations/2 côtés
63,5 mm (1923 ou 1925) Natural Vision (RKO) – 6 perforations/2 côtés (20 images/seconde)
65 mm (ca 1890 – Grande Bretagne) : William Friese-Greene ; 1 négatif connu de 1,90 m. environ, 26 images
65 mm (70 mm, sauf exceptions notées)
— 5 perforations/2 côtés ; ratios : 2,20/2,40:1
Fearless Super-Film / Magnafilm Paramount / Fox Vitascope (1930) – ratio 2,00 (65 mm)
70 mm (1958, American Optical Company) – ration 2,28
Vitascope (1930 et 31) Warner Bros
Cinema 180 (1979) – ratio 2,28
Cinestage – ratio 2,29 (35 mm)
FuturVision 360 – ratio 1,52
Showscan (1978) – ratio 2,28
MGM Camera 65 (1957) – ratio 2,76 (proche du Todd-AO)
Ultra Panavision (1959 ou1962 ?) – ratio 2,76 (à permis aussi le Super Cinérama : image tirée en 3 × 35 mm)
Cinestage (1957)
Varioscope (1959) – ratio 2,28
Futur Vision 360 (date ?)
Motion Master (date ?) – date 2,28
Panavision 70 (tirage sur 70 mm à partir de gonflage 35 mm)
Smell-O-Vision (1960) : prise de vues en 65 mm (?)
Super Panavision 70 (1959 ; proche du Todd-AO)
Todd AO (1955) – ratio 2,29
> dérivés européens du Todd AO par la société Modern Cinema System “MCS” (RFA) : Super-Panorama, Super-Panorama MCS (1962), MCS 70, Cinevision 70
Dimension 150 (1966) – ratio 2,28
Super Dimension 70 (1999) – ratio 2,28
— 8 perforations/2 côtés :
8/70 Dynavision (1973 ?) – ratio 1,37
Iwerksphere (1991) – ratio 1,37
— 10 perforations/2 côtés :
Cinerama 360 (1962)
Vario 70
Swissorama 360 (1984) – ratio 360°
Astrovision (1969) -
Soviet 10
67 mm (lieu ? date ?) : 1 exemplaire connu de 30 m. 3 perforations rondes horizontales entre chaque image
68 mm (1895) : Biograph de Herman Casler – 2 perforations/2 côtés (pendant la prise de vues ?)
(1889) : Kinesigraph ? – sans perforation
70 mm
(1894) : Acres 70
(1914) : Panoramico – 5 perforations/2 côtés
(1929) : Fox Grandeur – 4 perforations/2 côtés
(1930) Realife MGM – 4 perforations/2 côtés – 35 mm
(ca 1980 – USA) Showscan de Douglas Trumbull (cadence de 60 images/seconde)
Sovscope 70 (tournage et projection sur support 70 mm)
70 mm défilement horizontal – 15 perforations/2 côtés
(1970) : IMAX
(1973) : OMNIMAX – (optique “fish-eye » : écran hémisphérique)
(1986 ?) : IMAX 3D – 48 images/s – (appelé aussi Imax Solido) : 2 séries d’images Imax
75 mm (1899 ou 1900) : Lumière de A & L Lumière – 8 perforations rondes/2 côtés
82 mm (ca 1902 – Grande-Bretagne) : film trichrome avec 3 rangées d’images horizontales de Benjamin Jumeaux et William Norman Lascelles Davidson – 7 perforations rondes horizontales entre chaque rangée d’images
90 mm (1888-1889) : Chronophotographe de Marey – sans perforation – jusqu’à 120 images/seconde
155 mm (ca. 1890 ? – Grande-Bretagne) : William Friese-Greene, images stéréoscopiques ; 1 négatif connu de 45,5 cm avec 2x6 images
Système multi-caméras et écrans circulaires (360°):
Cinérama – illustration ci-dessus – (1952, inventé en 1935 par Fred Waller): 3 × 35 mm – 6 perforations/2 côtés – 26 i/s (pistes son sur un quatrième film)
Cinématorama (1896)– Auguste Baron : 6 appareils circulaires (puis 10 appareils)
Cinemiracle (1958): 3 × 35 mm – 6 perforations/2 côtés – 26 i/s (semblable au Cinérama)
Cinéorama (1900) – Raoul Grimoin-Sanson: 10 × 70 mm ; 360° !
Circarama (ou Circorama (?) 1955 – Disney): 11 × 16 mm
Circle-Vision 360 (1967 – Disney): 9 (et 11 ?) x 35 mm
Circle-Vision 200 (1982 – Disney): 5 × 35 mm
Circlorama – Circular Kinopanorama (1959 – URSS ?): 11 × 35 mm
Hexiplex (1992): 6 × 35 mm
Imagine 360° (circulaire – 1968 – USA)
IMAX Magic Carpet (1990): 2 × 70 mm (projection frontale + projection sous les pieds)
Kinopanorama (1958-Soviétique): 3 × 35 mm – 6 perforations/2 côtés – 26 i/s (ou 24 ?) – 9 pistes sonores (dont 1 au plafond)
Magirama (1956): 3 × 35 mm (Abel Gance)
Polyvision (1927): 3 × 35 mm (Abel Gance)
Swissorama (circulaire – 1984 – Suisse))
Thrillarama (1956): 2 × 35 mm
Ultra Toruscope (1992): 3 × 35 mm
Vitarama (1939): 11 × 16 mm
Widescope (1922): 2 × 35 mm dans la même caméra